Depuis l’épisode Covid ; notre monde baigne dans la manipulation. Un saut qualitatif a été franchi à ce moment. Il convient aujourd’hui de faire un état des lieux sommaire de ce qui se passe sous nos yeux. La tâche est rude car le plus difficile à voir, c’est ce qu’on nous avons sous les yeux ! Nous ferons donc un grand coup d’œil en arrière dans l’histoire afin de confronter ce que nous vivons aux sources des premières officines de manipulation. Et ensuite nous essaierons de jeter un regard sur notre époque si riche dans ce domaine.

Edward Bernays est un américain né en 1891 ayant vécu le plus clair de sa vie au États Unis. Neveu de Freud et adepte de ses théories psychologiques, il a travaillé dès la première guerre mondiale sur le psychisme des masses et il a théorisé ce qu’il a constaté. Sa pensée est toujours d’actualité. Un extrait :

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées et des opinions des masses est un élément important de la société démocratique. Ceux qui manipulent le mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le vrai pouvoir dans notre pays. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont modelés, nos goûts formés, nos idées suggérées principalement par des gens dont on n’a jamais entendu parler. C’est le résultat logique de la façon dont notre société démocratique est organisée. »    Edward Bernays ( Propagande, écrit en 1920 )

Voilà une assertion qui pourrait être considérée dans nos cercles macronistes – mais aussi bien au-delà – comme un préambule à une bible « complotiste ». Sauf que Bernays et, à sa suite, toutes les entreprises de relations publiques étatsuniennes, revendiquent sans scrupule aucun, cette conception de la société dite démocratique. C’est, en somme, le cœur caché de la société qu’une majorité de gens appelle « démocratique » qu’il révèle. Ce constat, fait par Bernays, nous invite à mieux définir ce qu’on doit entendre par « liberté » dans le monde moderne. Ce monde (qui « modèle les goûts » et « suggèrent les idées ») est pourtant celui qui met la liberté sur sa bannière, et qui s’oppose aux autres régimes, les qualifiant avec mépris d’autoritaires ou d’illibéraux, voire tyranniques, despotiques ou totalitaires. Bernays insiste particulièrement sur le fait qu’il s’agit d’une « conséquence logique de la façon dont la société démocratique est organisée ». Ce qui va à contre courant de certaines (auto)critiques du capitalisme moderne qui considèrent que ces manquements à la liberté élémentaire sont de simples « dérives » – certes en contradiction avec les fondements idéologiques du système mais – dont on pourrait empêcher l’apparition par des mesures appropriées. On pense au propos de Churchill : « la démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres ! »

1_ On sait que Goebbels utilisait les théories de Bernays pour sa propagande nazi ; ce sont plutôt les « relations publiques » américaines qui ont influencé les régimes totalitaires du XX°s …et non l’inverse !

I – Retour sur les sources de la manipulation de l’opinion : Edward Bernays et Walter Lippman.

C’est donc aux États-Unis, berceau de la ‘démocratie’ moderne que tout s’est mis en place. Il s’agissait de partir de la sphère politique

et économique, marchande. C’est dans ce dernier domaine qu’il eut ses heures de gloire :

« Nous devons faire passer l’Amérique d’une culture du besoin à une culture du désir. ». À vouloir d’autres choses avant même que les anciennes ne soient consommées. « nous devons former une nouvelle mentalité en Amérique, les désirs doivent éclipser les besoins( il faut ) que les gens se mettent à acheter ce qu’ils veulent et non ce qu’il leur faut » « En stimulant les désirs intérieurs des gens et en les saturant de marchandises il créait une nouvelle manière de gouverner la force irrationnelle des masses », concept forgé par son ami, l’essayiste Walter Lippman qui appela ces techniques : la fabrique du consentement.

Ce qui est remarquable ici, c’est la contradiction fondamentale entre les principes démocratiques toujours invoqués – pouvoir du, par et pour le peuple ! – et ces théories développées et surtout mises en pratique à une échelle de plus en plus globale, qui sont aux antipodes de ces mêmes principes. D’où les discours fréquemment tenus par le pouvoir qu’il faut sans cesse « construire » la démocratie que ce monde imparfait ne parvient pas à établir d’une façon définitive. C’est le moins qu’on puisse dire ! Vu la direction prise par les spécialistes des relations publiques, les publicistes et, bien sûr, les politiciens… on voit bien pourquoi c’est impossible.

Edgar Hoover, élu président des Etats Unis en 1928 – en s’adressant à un groupe de publicitaires et de conseillers en relations publiques – allait synthétiser les deux aspects : « Votre métier est de créer du désir et de transformer les gens en automate du bonheur, en machines qui deviendront la clé du progrès économique »…

Ainsi, le tour est joué, en transformant les gens en automates, en machines pour atteindre le but proclamé : le progrès économique ! Ce n’est plus désormais le progrès pour l’Homme tel qu’on nous le vend encore naïvement mais très explicitement l’Homme pour le progrès.

2_ Bernays fit partie de la Commission Creel dont le but était de faire changer d’avis les américains et de les emmener à entrer dans la première guerre mondiale

3_ https://bcteam.fr/ces-marques-evenementielles-au-service-de-la-consommation/

4_ Il faut se souvenir de ce que disent toujours les grands patrons : « nous produisons des marchandises pour satisfaire des besoins ». …Ah ! [4]

II – Petit crochet par la pub : pour commencer …et pour en finir !

La première manifestation de la manipulation des esprits dans nos sociétés est, bien entendu, la publicité qui a envahi tous les espaces publics et s’immisce dans les espaces privés via les journaux puis le courrier postal, le téléphone et l’internet. Le phénomène étant très étudié, nous rappellerons seulement quelques grands traits. Elle est basée en premier lieu sur l’omniprésence et la répétition des messages. On ne peut pas ne pas la voir et on ne peut guère se soustraire à son emprise (message devant influer l’inconscient, voire subliminal). Du moins sans un effort certain pour y parvenir ! car « nous pouvons être affectés par (ou sensibles à) des éléments de l’environnement auxquels nous ne faisons pas attention ou qui nous ont échappés mais que notre machine cognitive – comme disent les psy – a néanmoins traités. » (Jean-Léon Beauvois). Il arrive qu’on soit étonné de certains choix qu’on fait soi-même, guidés par un inconscient traficoté par la pub. Le but des publicitaires étant de fabriquer de nombreuses techniques afin que les messages qu’ils diffusent échappent à la délibération consciente. Cet aspect est essentiel. Et c‘est en ceci que réside la manipulation publicitaire. Mais cela ne s’arrête pas à la vente des marchandises, ces techniques sont utilisées aussi bien pour élire du personnel politique voire adopter un mode de vie, un système politique et social puisque l’objectif est de façonner l’opinion publique. Aux dires d’un éminent publiciste du Gotha des spin doctors, M. Blumenthal : « Les techniques professionnelles peuvent être employées au service de n’importe quel objectif et dans n’importe quel endroit, en fonction des circonstances. Peu importe le programme ou le candidat. » Elles sont fondées sur des données issues des sciences humaines, théorisées, testées, mesurées, etc… afin de s’assurer de leur efficacité en tant que pub ou propagande politique. « Comme toute technique la propagande est soumise à la loi de l’efficacité » rappelle Jacques Ellul.

III – La manipulation contre la critique sociale et politique :

Si du côté du contrôle social on laisse les gens penser ce qu’ils veulent mais on leur interdit de faire ce qu’ils veulent, dans la manipulation, on leur interdit de penser ce qu’ils veulent en intervenant au sein même de leurs pensées.

1. Notons aussi que la manipulation des esprits mise en place pour le bon fonctionnement de la démocratie et du capitalisme va bien au delà d’une injonction comme : ‘buvez coca cola’ …et on finit par le boire ! Selon Th. Adorno, il s’agit de la mise en place de véritables ‘structures d’aveuglement’  qui ne se réduisent pas au mensonge factuel, c’est une « pratique systématique et à large échelle de l’interprétation et de la présentation partisanes des faits ». Par exemple, présenter les revues scientifiques « prestigieuses » comme émanations de la Science comme cela s’est fait pendant l’épisode covid. Depuis des lustres, on sait que ce n’est pas le cas mais ceux qui se servent de ce mensonge le répètent sans cesse. Et dans la plupart des cas …ça marche ! Malgré tout, les aveux sont là : Marcia Angeli, rédac chef pendant 20 ans de New England Journal of Medecine, : « nous [NEJM] sommes le vaisseau amiral de la propagande pharmaceutique, nous ne sommes plus des journaux scientifiques. » Ou Richard Orton, le codirecteur du Lancet : « le problème est que la moitié de la littérature scientifique que nous produisons dans nos journaux est fausse. Il y a un coté corrompu, un coté biaisé, un coté absolument faussé. » [5]

2. Selon Jacques Ellul, la propagande utilise plus souvent la vérité que le mensonge. Il pense qu’on ne peut pas – même en régime totalitaire – baser une bonne campagne de propagande sur le simple mensonge, il faut partir de faits vrais et les accommoder. Autre point de vue : pour Hannah Arendt, « le mensonge est souvent plus plausible, plus tentant pour la raison, que la réalité, car le menteur possède le grand avantage de savoir à l’avance ce que le public souhaite entendre ou s’attend à entendre. » Une propagande efficace pourrait bien être construite avec un mélange de vérités et de mensonges car on peut penser qu’il est plus aisé de démasquer des mensonges présentés isolément que dans un entrelacement de vérités (et de mensonges) …pour obtenir un discours (entièrement) mensonger ! « le vrai est un moment du faux » [6] Le risque est grand, selon H. Arendt, que, « quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. » C’est d’ailleurs ce que Orwell estimait être le but réel de la propagande.

3. Dans les officines de fabrication de la vérité, selon Noam Chomsky, « Les firmes de relations publiques sont progressivement devenues les principales pourvoyeuses d’informations. [7] Les études de source révèlent une importante proportion d’informations venant de ces argumentaires et des communiqués de presse fournis par des firmes de relations publiques qui comptaient, en 2003,  20 000 agents de plus qu’il n’y a de journalistes pour les écrire ! » (Introduction de la fabrique de l’opinion publique). Ce qui signifie que la « matière première » des informations journalistiques sont des interprétations déjà déformées de la réalité… « par des gens dont on n’a jamais entendu parler. » disait Bernays en 1928. 

Ces firmes de relations publiques sont les ancêtres des factes chéqueurs d’aujourd’hui. Car c’est à partir des informations biaisées ou carrément fabriquées par ces « faiseurs de vérités » que les journalistes élaborent leurs articles. Qu’on pense au rôle dévolu aujourd’hui à l’AFP, agence de presse censée être la source « fiable » pour les articles de quasiment toute la presse en France mais aussi de tout ce qui peut se dire avec quelque crédit [8] notamment sur la place publique par les politiciens. De sorte que, en « orientant » cette agence nationale de presse, on « oriente » dans le même sens la totalité de l’activité journalistique. Les « factes chéqueurs » mais aussi Wikipédia, depuis quelques années, travaillent dans le même esprit. La plupart des « médias de grand chemin » (meillene strim) possèdent aussi des organismes de « vérificateurs des faits » qui vérifient ce qu’on leur demande de vérifier (ils sont rétribués pour ça !) et produisent une « vérité » répondant aux exigences des commanditaires (fenêtre d’Overtone, là encore) [9]. De plus, on est « invité » d’une façon de plus en plus pressante à croire la propagande et à se défier de tout discours discordant sous peine de sanctions de plus en plus graves et variés. Dans une inversion tout à fait orwellienne : avec les factes chéqueurs, « la réalité devient de la propagande et l’information manipulée devient la vérité !  »

IV – Exemples de manipulations contemporaines : C’est bien du système tout entier qu’on fait la promotion de sorte que :

exemple 1. Ainsi il était totalement complotiste, pendant tout son mandat, de dire que le président Biden était sénile. Dès que c’était dit ou écrit quelque part, lever de bouclier des « bien pensants » et autres factes chéqueurs contre le ‘désinformateur’ à la source de cela. Problème : aujourd’hui, on a la confirmation OFFICIELLE (la fenêtre d’Overtone a bougé, s’est élargie) que, non seulement il était vraiment sénile – comme tout le monde pouvait le constater – mais il l’était dès son élection en 2020. La réalité est maintenant dévoilée mais …la falsification a eu lieu, on n’y revient pas ! Et les affabulateurs restent en poste, courent toujours.

exemple 2. Le virus du covid est venu d’un pangolin vendu sur un marché en Chine. C’était la vérité officielle défendue par les scientifiques corrompus [10] et, bien sûr, les factes chéqueurs stipendiés jusqu’à ce que les scientifiques peu à peu osent ouvrir les yeux et se rendre à l’évidence [11] : le virus est bien sorti d’un laboratoire où il a été créé, comme l’avait dit le professeur Montagné dès février 2020. La plupart de ceux qui ont soutenu le contraire restent à leurs brillants postes et courent toujours.

exemple 3. Quand un journaliste dit que tout le monde savait que « le vax covid ne marchait pas mais on n’avait pas le droit de le dire », c’est bien qu’on l’entende de la part de quelqu’un qui a vécu cette contrainte « de l’intérieur » car on se doutait bien qu’il y avait de cela – à l’évidence ! – et ceci est certainement une confirmation bienvenue. Malheureusement, on ne nous dit pas QUI était à la manœuvre et …pour quelles raisons ? Là aussi, les commanditaires sont derrière le voile !

exemple 4. les membres les plus proches du terrain militaire de l’OSCE, Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe étaient contraints par les autorités occidentales soit d’incriminer les « autonomistes » du Donbass dans toutes les agressions de l’État Ukrainien soit de taire les informations qu’ils détenaient. Rapprochons ceci de la déclaration du journal ‘Le Monde’ après le rapport d’Amnesty International sur le fait que l’armée Ukrainienne se cache dans les bâtiments publics prenant ainsi les civils comme boucliers humains. Les « journalistes » « labellisés » écrivirent : « la vérité n’est pas toujours bonne à dire. » [13]. Pour des propagandistes oui, certes, mais… pour des journalistes, on pourrait penser que non ! …Et pourtant, ils écrivent toujours.

exemple 5. la boxeuse algérienne dont tout le monde voyait (surtout celles qui recevaient ses coups !) que c’était un homme a concouru et gagné le titre olympique féminin. Maintenant, après les analyses ADN auxquelles elle a été forcée de s’adonner, on sait que c’est un homme maiselle est toujours championne olympique féminine de boxe.

exemple 6. Quand on ne parvient pas à s’abstraire de ses biais idéologiques on voit le monde comme la lutte des gentils avec des méchants. Bien souvent les biais sont inconscients. Parfois non, et dans ce cas, c’est du mensonge pur et dur ! Dans l’OSCE comme dans le GIEC, au départ, il y a une foule d’éléments pas vraiment convergents envoyés par les journalistes ou les scientifiques qui sont « au contact » du réel mais les « résumés » sont faits par des gens qui ont une position a priori et dont la fonction consiste à la diffuser et interdire les autres. Et ceux-là exercent plus que jamais leur emprise.

exemple 7. Le patron de fesse Bouc, bien qu’ancien soutien du parti démocrate, avoue avoir subi des pressions du gouvernement Biden pour censurer les contenus opposés au covidisme [14]. Google avoue, dans une lettre au Congrès datée du 23 septembre 2025 (tardivement), avoir cédé à des pressions de l’administration Biden pour censurer des contenus pro-Trump sur YouTube. Il s’agissait de « complaire aux autorités ». L’administration Biden se révèle donc une agence de censure aussi tenace que l’UE de Von Der la Hyène ou la France de Macron. Mieux, sur X alors que le patron Elon Musk avait promis une liberté totale de s’y exprimer, voilà qu’on apprend que « Claire Dilé [une des patronnes de X France], auditionnée sur les effets psychologiques des réseaux sociaux comme TikTok mais élargissant le débat à X, décrit une approche « granulaire » de la modération. D’un côté, les contenus « clairement en violation » des règles de la plateforme ou de la loi sont supprimés. De l’autre, pour les zones « grises » – ces publications sensibles mais non illégales – X applique un « filtre de visibilité ».  Elle exerce toujours ses talents sur X.

Bien sûr, on peut trouver bien d’autres exemples. Finissons-en avec quelques citations d’Orwell :

« Le passé était raturé, la rature oubliée et le mensonge devenait vérité. »

« La conscience d’être en guerre, et donc en danger, permet de faire passer pour naturelle la concentration des pouvoirs sur une toute petite caste, présentée comme la condition sine qua non de survie. »

« Ne voyez-vous pas que le véritable but de la novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? À la fin, nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer. »

Et la plus symptomatique du monde dans lequel nous vivons – et depuis longtemps car la citation vient des « Réflexions sur la guerre d’Espagne » de 1942 : « J’ai vu les journaux de Londres débiter ces mensonges et des intellectuels zélés bâtir des constructions émotionnelles sur des événements qui n’avaient jamais eu lieu. J’ai vu, en fait, l’histoire s’écrire non pas en fonction de ce qui s’était passé, mais en fonction de ce qui aurait dû se passer selon les diverses « lignes de parti »

« Ce genre de choses me terrifie parce qu’elle me donne l’impression que la notion même de vérité objective est en train de disparaître de ce monde. »

On se souviendra de l’enfant qui s’écrit : « le roi est nu ! » alors que les adultes se taisaient… pour tant de raisons. Mais dans le réel qui est le nôtre, aucun enfant n’a encore parlé !

Conclusion en forme de questionnements : pourquoi le mensonge et la manipulation sont si souvent acceptés par ceux qui les subissent ?

« la vérité est rarement douce au palais : elle est presque toujours amère. » A. Soljenitsyne (Discours de Harvard).

« Le groupe protège, la vérité isole, alors le choix est vite fait : le confort est dans le mensonge. » Peggy Sastre.

Et donc « Le confort dans un groupe qui ment et manipule est-il préférable à l’isolement et au rejet auquel conduit le fait de dire le vrai ! » car il est possible que « connaître et faire connaître la vérité n’ait jamais suffi car il a toujours fallu survivre à la meute. »

Autre petit rappel du réel avant une citation d’un auteur classique : Lors de la grippe H1N1 (2009) le Sénat et le Conseil de l’Europe ont fait une enquête sur la façon déplorable dont la dite crise a été gérée. Toutes les leçons auraient pu être tirées ; pourtant, avec le covid en 2020, les nuisances se sont renouvelées telles qu’avec la grippe H1N1 de 2009. En plus réussi, puisque les organisateurs – eux – avaient mieux préparé leur coup ! (Corinne Lalo).

Voltaire : « La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire. »

4_ Il faut se souvenir de ce que disent toujours les grands patrons : « nous produisons des marchandises pour satisfaire des besoins ». …Ah !

5 _ source : Bercoff reçoit Raoult. https://www.youtube.com/watch?v=PIKU0lYfEis&ab_channel=SudRadio

6 _ Guy Debord. La société du spectacle

7 _ exemple d’aujourd’hui : Mc Kinsey, entreprise de relations publiques, aide de camp de Macron, a été fondée aux États Unis dans les années 1920.

8 _ soit la fenêtre d’Overtone

9 _ https://www.youtube.com/watch?v=rtGMJNKDsM8&ab_channel=Tocsin

10 _ notamment par A. Fauci. Celui-c, semble-t-il, est inquiété par la Justice de son pays. Autres lieux, autres mœurs !

11 _ parfois par conformisme d’autres par veulerie ou simplement par crainte d’être réprimé par l’État, le Conseil de l’Ordre, sans oublier la peur d’être marginalisé par la meute des collègues – équivalent à la mort sociale !

12 _ Cf Benoît Paré, observateur de l’OSCE, qui indique qu’il était interdit de mettre en évidence la répétition de la désinformation en faveur de l’État ukrainien

13 _ soyons sûrs qu’eux n’auront aucun problème pour obtenir le label tant voulu par le président Macron.

14 _ certains pensent qu’il n’a pas beaucoup forcé à suivre le sens du vent – du pouvoir !