Détournement et masquage des données scientifiques
vacciné tu seras !
Vous souvenez-vous que la directrice des Centres américains de contrôle des maladies et de prévention (CDC), Rochelle Walensky, a reconnu en mars 2022 que son optimisme à l’égard des vaccins Covid‑19 lui venait des reportages sur l’efficacité du vaccin Pfizer qu’elle avait vus sur CNN, et qui constituaient « une reproduction presque à l’identique du communiqué de presse de Pfizer ». Il se pourrait bien que nombre de gestionnaires de cette intervalle covid ait subi la même mésaventure. Nous parlons ici des cadres intermédiaires, pas des haut gestionnaires qui, eux, évidemment avaient beaucoup plus de connaissances de première main à leur disposition. Et, pour bien relater cet épisode et l’attitude des intervenants, nous pouvons revenir sur les dernières « révélations » de Pfizer qui ont fait grand bruit.
En réponse à un député du Parlement Européen * la représentante de Pfizer déclara en octobre dans ce même parlement que l’effet inhibiteur du vaccin sur la transmission du virus n’avait jamais été vérifié ni testé. Cette affirmation en a surpris plus d’un, qui pensait qu’il était évident que – bien sûr – le ‘vaccin’ empêchait la transmission du virus et que c’était bien pour cela qu’on avait suspendu les soignants refusant les injections car, ce faisant, ils devenaient contaminants (potentiellement !). Qu’en penser ?
On peut examiner les réactions de la presse à gros débit, ce qui donne un état des consciences des gestionnaires. D’après 20 minutes https://www.20minutes.fr/sante/4005263-20221016-covid-19-pfizer-evalue-efficacite-vaccin-transmission-virale-vrai « Une déclaration d’une représentante de Pfizer au Parlement européen a été reprise pour pointer que l’entreprise avait « avoué » que le vaccin anticovid-19 « n’avait pas été testé » sur la transmission. » Et le journal, à la suite de tous les colporteurs de la bonne pensée subventionnée, s’empresse d’ajouter : « Mais dans sa recommandation du 24 décembre 2020, la Haute Autorité de santé (HAS) indiquait que ’’l’efficacité vaccinale sur la transmission virale n’[avait] pas été évaluée’’ »
Tiens donc. Avons-nous eu la berlue en écoutant Olivier Véran, ministre de la Santé – tout de même – marteler maintes fois qu’être vacciné empêchait la contamination… qu’on devait se faire vacciner pour ne pas contaminer les autres ? N’y eut-il pas une campagne de promotion indiquant : « tous vaccinés tous protégés ! » jusque même ce mois de …septembre 2022 ?
Comme cela semble vraiment contredire la narration officielle, on assiste maintenant à une profusion de justifications peu convaincantes visant à se défendre d’avoir menti et d’avoir manipulé l’opinion.
Pour minimiser leur responsabilités certains journaux rétorquent que les politiciens ont peut-être été floués, eux aussi, par les labos. Pfizer ici. Que nenni ! Dans un mémoire délivré, mai 2021, en vue du procès d’un vieux monsieur qui demandait à être délivré du confinement puisqu’il était vacciné (il avait cru ce que le ministre avait soutenu à maintes reprises… tout simplement !) le même Véran admet par écrit ce qu’il nie oralement, à savoir que le pseudo-vaccin n’empêche pas la transmission.
Il ne reste donc qu’une explication possible : Véran, ministre de la Santé, SAVAIT que la transmission était un mensonge …qu’il a activement fait circuler !
Beaucoup de ceux, bien placés parmi les nombreux soutiens de la politique vaccinale, le savaient aussi ! Et ils ont tous entretenu le mensonge. Que disaient les autorités politiques ? Véran : « vous réduisez par 12 le risque de contamination des autres » le 13/07/2021. Alors ? on n’a jamais dit que le vaccin n’empêchait pas la transmission ? « Si nous étions tous vaccinés le virus ne pourrait plus cheminer. » rajoute-t-il. Et encore « si tout le monde est vacciné le virus ne trouve personne à contaminer. » On ne peut être plus clair. Mais on va nous dire que c’est un seul individu qui s’est trompé – et nous a trompés. Prenons Michel Cymès, médecin de plateau, porteur de la pensée (falsifiée) officielle : « les gens contaminés qui vont mourir avec la responsabilité de ceux qui ont refusé de se faire vacciner et qui vont donc transmettre le virus à des gens qu’ils vont croiser… » « ça fait un an qu’on explique les risques que l’on prend pour soi et surtout pour les autres ! » Mais c’est peut-être encore un autre menteur. Citons alors l’institution, puisque le ministre de la Santé ne suffit pas. La Haute Autorité de Santé le 3 juin 2021 : « les vaccins Pfizer, Moderna réduisent de 80 à 90% le risque de transmission. » On voit bien que si l’on est pas trop oublieux et si on cherche un tant soit peu à établir la vérité des faits on ne peut qu’être en total désaccord avec les fact chekers ( = vérificateurs d’infos) de Libé, du Monde ou du Figaro, … qui ne savent plus comment se justifier aujourd’hui. Jean Quatremers, journaliste (honnête) à Libé : « le gouvernement et la quasi totalité des médias ont sciemment menti pour imposer un passe sanitaire et vaccinal attentatoire aux libertés publiques. »
Il faut tout de même mettre l’accent sur un aspect important de cette propagation de mensonges. Si on tape sur un moteur de recherche : « Pfizer pas de test pour la transmission » – ce que j’ai fait – on obtient sur la première page des articles qui, TOUS, reprennent la doxa covidiste. Seule restriction, mais faible… celle de l’OMS : « L’impact du vaccin sur la transmission est modeste. » Mais même modeste, comment le savaient-ils ? https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-can-take-the-pfizer-biontech-covid-19–vaccine-what-you-need-to-know … d’où sortent-ils les données, ces experts de l’OMS ? Ce site a par ailleurs maintes fois été mis à jour depuis ; on aimerait savoir ce qu’il mentionnait dans sa version originale en janvier 2021.
Retour sur l’historique : la Haute Autorité de Santé le 24 décembre 2020 dit clairement : « l’efficacité sur la transmission virale n’a pas été évaluée » ; au moment où débute la ‘vaccination’. Mais… les autorités sanitaires avait bon espoir que plus on est vacciné plus on serait protégé… collectivement ! * Autosuggestion ? Ou volonté d’induire la vaccination générale ? Mais alors pourquoi ?
Ce qui se joue ici est simple. La propagande pro vaccinale se basait sur l’efficacité des injections contre la transmission **. Après tout, si on appelle ces injections du nom de « vaccins », c’est bien cela qu’on espère ou alors il faut changer de nom pour les désigner ***. Vu que les vaccins empêchent la transmission, avec chaque personne vaccinée on devait avoir une porte d’entrée qui se fermait pour le virus ! Si le vaccin protège seulement chacun individuellement contre la maladie en laissant intacte la transmission alors l’immunité collective est, en effet, un mirage car chaque « vacciné » est (peut-être) immunisé tout en transmettant le virus, inoffensif pour lui, mais qu’il véhicule malgré tout.
Quand est passé par là le président qui scanda : « vaccinez-vous, vaccinez-vous, vaccinez-vous. » le bâton fut montré : « pas de vaccin, pas de bistrot ni de bibliothèque ni … ni… etc. » La propagande cependant buttait sur une réalité de plus en plus évidente : pas d’immunité collective à l’horizon ! On incrimina le variant delta très (trop ?) contaminant. Mais enfin, puisque le vaccin qu’on poussait à être utilisé, protégeait de la transmission… ! en septembre 2021 : « Longtemps brandie comme l’objectif pour sortir de l’épidémie, l’immunité collective semble difficilement atteignable face au variant Delta. » (France dés-Info-rmation) Face au variant delta seulement ? Voire. Avec l’omicron, ce fut encore pire.
En janvier 2022, le nombre de contaminés par jour devient stratosphérique. Et pourtant 80 % de la population française est injectée. Adieu l’immunité collective, on n’en entendra plus parler. Ben alors, le vaccin n’empêche plus la transmission ? On ne se vaccine plus …pour protéger les autres ? Et les soignants non injectés, pourquoi sont-ils suspendus alors puisque, de toute façon, vaccinés ou pas, on est également contaminant …si on est infecté.
Pour faire avaler toutes ces divagations complètement illogiques, il faut bien des experts. Mais des experts en manipulation. Ah, ils ont dû réfléchir pour convaincre et rallier la foule ! Comme aujourd’hui les vérificateurs d’infos (fact checkers du LibéMonde et d’ailleurs). Et pourtant, aujourd’hui les convaincus sont de moins en moins nombreux parmi les déjà vaccinés. Malheureusement, les résignés restent, eux aussi, nombreux. Mais ça fait partie aussi du travail des relations publiques d’amener les gens à la résignation, comme le disait Orwell : « Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. »
* Rob ROOS (député hollandais) demande : Was the Pfizer covid vaccine tested on stopping the transmission of the virus BEFORE it entered the market ? [est-ce que le vaccin Pfizer a été testé sur la transmission du virus avant sa mise sur le marché ?]
Janine SMALL (Pfizer) répond : « Did we know about stopping the immunization before it entered the market ? NO, we had to really move at the speed of science to really understand what is seeking place in the market. » [Non, Vous savez, nous devions aller à la vitesse de la science pour vraiment comprendre ce qui se passait dans le marché.]
** france-info : Thierry Breton est-il trop optimiste lorsqu’il fixe un objectif d’immunité collective au 14 juillet [2021] ? Stéphane Paul, chef du service d’immunologie clinique au CHU de Saint-Étienne : il n’a pas été trop vite. On estime en France qu’on a entre 15 et 20 % de la population qui est déjà immunisée de manière naturelle contre l’infection. Les chiffres avancés par M. Breton sont relativement bien corrélés avec ce qu’on estime être l’immunité collective autour de 70 % ou 80 % de personnes vaccinées ou immunisées contre le Covid-19. L’immunité collective, c’est le degré de la population qui doit être immunisée, c’est-à-dire protégée, pour éviter que le virus circule. En fonction de l’infectiosité du virus, on sait qu’on peut estimer cette proportion de population qu’il va falloir vacciner ou immuniser pour que le virus ne se propage plus. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-la-vaccination-reduit-tres-fortement-la-transmission-estime-un-immunologue_4343213.html
*** le CDC américain a changé la définition d’un vaccin qui passe de : quelque chose qui « produit une immunité » en : quelque chose qui « stimule une réponse immunitaire », Dr Scot Youngblood presents to San Diego City Council Meeting.